Mon fils qui est candidat à un concours direct n’a pu s’acquitter du droit y afférent. Son oncle qui a promis l’aider n’a pu tenir sa promesse.
Le soutien financier promis par l’oncle n’a jamais connu un début d’effectivité. Cela était dû aux pluies qui n’ont pas permis une quelconque récolte qui aurait permis de vendre le cacao.
Ainsi, cette année les pluies diluviennes qui ont fait leur apparition en décembre 2023 et continuent encore en ce mois de janvier 2024, ont ruiné les chances d’obtenir de bonnes récoltes.
Devrait-on s’en prendre aux changements climatiques? Possible. Seulement en attendant les vraies réponses à ces questions, les cacao-culteurs broient du noir en ce début d’année. Pour compenser cette perte que l’on imagine énorme, les personnes ayant une parcelle de pouvoir dans cette filière, ne pourraient-elles pas procéder à une hausse du prix d’achat du cacao bord champ?
Les deux mois qui suivent le mois de janvier seront très difficiles pour tout le monde. Alors, autorités en charge du cacao en Côte d’Ivoire, agissez parce que les pluies ont empêché les récoltes.

Gervais Djidji
gervdji@yahoo.fr